Inside Talisker : ce qu’on dit serait donc vrai…

Un an après son arrivée chez Talisker, Sophie fait le point sur son expérience de consultante fraîchement diplômée et témoigne de la vie au sein du cabinet.

Consultante depuis un an chez Talisker, j’ai envie de partager mon expérience, de comparer l’image que j’avais du cabinet lors de mes entretiens avec ma réalité et surtout, d’aider des candidats à avoir une image plus précise de ce qui les attend s’ils postulent chez nous !

 

L’heure du choix

La fin des études est une période aussi compliquée qu’excitante. Comment trouver sa voie ? Comment éviter de se tromper ? Comment s’assurer de la bonne foi des recruteurs ? Je n’avais jamais fait de conseil avant mon arrivée chez Talisker en octobre 2019, c’était mon premier job, j’étais jeune diplômée et le seul secteur que je connaissais bien, c’était celui de l’édition. Avant d’intégrer Talisker et dans mes tribulations de future jeune diplômée, quelque chose me gênait lors des interventions de professionnels du conseil en stratégie, organisation et management à l’école dont je suis diplômée. Je me souviens en particulier d’avoir entendu un jour « en tant que consultants, vous êtes très intelligents, vous avez une grande force de travail, on vous trie sur le volet… Mais il faut être honnête, vous êtes interchangeables ». Peu importaient les qualités que je partageais ou pas avec mes camarades, la vérité, au fond, c’est que moi ou un autre, c’était pareil.

 

Talisker, un cabinet différent ?

Au moment de mes entretiens, Talisker semble proposer autre chose. Chacun dans son individualité, peut (et presque doit) apporter quelque chose au cabinet. Notre activité et les sujets de nos missions sont très proches de ceux des autres cabinets de conseil : transformations, refontes d’organisations, valorisation des services (innovation, IT…), marketing des fonctions internes… La différence se situe à deux niveaux : notre taille et notre manière de faire.

 

Notre taille : petit cabinet n’implique pas petites responsabilités

Lorsque j’arrive en octobre 2019, nous sommes 35 au cabinet. Ce que chacun fait et propose reflète directement l’image de Talisker et nous avons d’ailleurs la place de prendre des initiatives. Qu’il s’agisse de projets internes comme le mécénat de compétences ou du développement des offres du cabinet, chacun, à n’importe quel grade, est libre de proposer, tester et faire évoluer notre activité. J’insiste sur « à n’importe quel grade » : nous travaillons tous ensemble sur des projets internes, du consultant au partner. Si nous sommes encadrés sur mission, nous n’avons pas de chef direct, chacun est responsabilisé et les relations sont basées sur la confiance. J’ai un job à faire, tout le monde part du principe que je vais le faire et du mieux que je peux. Personne n’est derrière moi pour me demander ce que j’ai fait dans la journée ou pour me donner le détail de chaque action à réaliser. Dès lors, on prend des initiatives et on sollicite nos collègues et managers de mission pour avancer. C’est d’ailleurs dans notre ADN d’être disponibles au maximum pour nos pairs. Là-dessus, aucun doute sur le fait que ce qu’on m’a vendu en entretien, je le vérifie chaque jour. C’est l’un des privilèges de notre taille : au-delà d’une ambiance conviviale où tout le monde se connaît, elle permet une plus grande flexibilité dans la manière de travailler et de s’adapter aux contraintes externes ou aux besoins en interne.

L’autonomie tant demandée aux jeunes diplômés prend tout son sens chez Talisker, on me demande d’être autonome et surtout, on me laisse le devenir. Mes managers sur mission sont toujours disponibles pour répondre à mes questions et c’est surtout le système de mentorat qui ancre ma progression. A son arrivée au cabinet, chaque consultant, senior, manager ou partner devient le « mentee » d’un manager ou partner Talisker. Le rôle du mentor est d’accompagner la carrière et le développement de son mentee au sein du cabinet. Chez Talisker, il y a peu de règles imposées, la relation mentor/mentee n’y échappe pas ! Chaque duo s’organise comme il le souhaite. Pour ma part, je vois mon mentor au moins toutes les 6 semaines, parfois 10 minutes, parfois 1h au besoin. Les sujets sont divers : missions actuelles, travaux internes au cabinet, développement et à peu près tout ce que j’ai envie d’aborder. L’objectif est, pour mon mentor, de vérifier que tout va bien, que je peux progresser et continuer à grandir et de m’aider à le faire. C’est aussi par son intermédiaire que sont réalisées les évaluations et que sont discutées les demandes d’évolution. Notre effectif permet à chaque mentor d’être proche de son mentee, de l’accompagner réellement et de ne pas juste être un référent assez lointain avec lequel on échange au moment de changement de grade. En résumé, on se soucie vraiment de notre progression, de notre bien-être au travail et on nous aide à trouver notre place. Sur ce point encore, je retrouve exactement ce à quoi je m’attendais.

 

Notre manière de faire : faire avancer nos clients et changer durablement leurs pratiques

Ces éléments caractéristiques de la vie interne, nous les répliquons dans notre manière de travailler chez nos clients. Nous ne faisons jamais « à la place » de nos clients (à vrai dire, il nous arrive de devoir faire des choses à leur place mais du moins, ce n’est pas l’objectif de nos missions), nous les accompagnons pour qu’ils fassent mieux et pour que chacun, dans les travaux menés, trouve sa place. Je ne vais pas entrer dans le détail de nos missions dont les objectifs sont toujours de délivrer de la valeur à nos clients, d’améliorer leurs pratiques et de mobiliser les femmes et les hommes avec qui l’on travaille pour y arriver. Les clients sont systématiquement inclus dans la conduite de nos missions, nous faisons avec eux et essayons de les emmener le plus loin en tant qu’équipe et individuellement. On ne fait pas « pour », on fait « avec » eux afin que les équipes sur place aient appris des choses et ressortent grandies de nos missions. En tant que consultants, nous sommes pleinement intégrés aux activités de cadrage, de suivi et de production avec nos clients. L’exposition client est un sujet important lorsqu’on intègre un cabinet, on a envie d’y aller et chez nous, on doit y aller, que l’on ait deux semaines ou deux ans d’expérience ! On participe d’emblée aux réunions commerciales avec les clients, aux discussions sur les propositions, aux constructions de démarche et, bien évidemment, on réalise tout ou partie des activités qu’implique la conduite de nos missions (entretiens, ateliers, restitutions, productions…).

 

Ce qu’on dit serait donc vrai ?

Le travail d’un recruteur est de vendre son entreprise. Pourtant, trop souvent, on se rend compte petit à petit (ou très rapidement lors de certaines expériences malheureuses) que ce qu’on nous a vendu n’est pas ce qu’on vit au quotidien. J’ai écrit cet article pour partager que ce qu’on m’a vendu, je le vérifie chaque jour ! Pourtant, c’est par hasard que je suis tombée sur une annonce de recrutement du cabinet. Je n’avais pas prévu de les rejoindre, j’ai postulé « pour voir » et ça m’a plu. Alors j’incite tous les futurs jeunes diplômés à creuser, à ne pas se dire qu’il n’y a qu’une seule voie dans le conseil et à foncer tête baissée vers un grand nom s’ils sentent qu’ils ont envie d’une expérience différente. Je voulais rejoindre une entreprise où j’apprends beaucoup dans un environnement où tout le monde se connaît, où chacun peut s’exprimer, où mes actions et mes réalisations sont visibles et valorisées : un an après, le contrat est rempli ! Comme toutes les entreprises, Talisker ne convient pas à tout le monde : pour y trouver sa place, il faut prendre des initiatives, chercher son périmètre et aller à la rencontre des autres plutôt que suivre un chemin balisé. Ce que j’ai trouvé me correspond et si en me lisant, tu penses qu’à toi aussi, n’attends pas et viens nous rencontrer !

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